Das ist die Antwort auf Beitrag 20087025

Franz

re: bitte hilfe =(
Hallo,
Habe den 1. Satz umgestellt, damit man nicht sofort merkt, dass du abgeschrieben hast ;)
(im anderen Thread gib doch mal bitte an, was der Lehrer unterstrichen hat)
Salut, Dieter

Jean le chanceux

Jean avait travaillé pour son maître sept ans, et il lui dit: « Monsieur, mon temps est fini, je voudrais bien retourner chez mes parents , payez-moi mon salaire, s'il vous plaît. »

Son maître lui répondit : « Tu m'as bien et loyalement servi, la récompense sera bonne. «

Et il lui donna un lingot d'or, gros comme la tête de Jean.

Jean se mit en route pour aller chez ses parents.

Il rencontra un chevalier et il changea avec lui son lingot d'or contre le cheval parce que le lingot d´or était trop lourd.

Jean tomba de son cheval et un paysan détint le cheval,

Le paysan avait une vache, et il voulait échanger sa vache contre le cheval de Jean.

Jean était heureux et il voulait traire sa vache, parce que il avait soif et il fasait très chaud.

Mais la vache lui donna un coup de pied á sa tête, et Jean tomba.

Il recontra un boucher qui eut un porc et encore une fois ils changeaint.

Jean continua aller á sa maison, et il fit la connaissance avec un jeune garçon, qu'il portait

une oie.

et – surprise, surprise - Jean changea son porc contre la oie du garçon.

Finalement, quand Jean passa le dernier village avant d´arriver chez lui, il vit un rémouleur qui

fut rourner sa meule.

Le rémouleur demanda:

— Où avez-vous acheté cette belle oie?
— Je ne l'ai pas achetée, je l'aie eue en échange de mon porc.
— Et le porc?
— Je l'ai eu pour ma vache.
— Et la vache?
— Pour un cheval.
— Et le cheval?
— Pour un lingot d'or gros comme ma tête.
— Et le lingot?
— C'étaient mes gages pour sept ans de service.

Le rémouleur se dit, que c´était possible de gagner de l’argent , s’il fasait son travail.

Jean échangea sa oie contre une pierre et continua son chemin á la maison.

Quand Jean voulut boire, les pierres tombèrent au fond du puits.

Jean fut heureux parce que les pierres furent trés lourdes.

Et délivré de tout fardeau, le cœur léger comme les jambes, il continua son chemin jusqu'à la

maison de sa mère.

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